Forums des assistantes maternelles et des parents employeurs

Ouais bah pas facile tout ça...
Désolée si tu me trouves un peu trop scolaire: mon problème actuel est que j'ai fait bcp d'études et que j'ai peu de pratique. Avec le temps, j'arriverai à prendre du recul et à moins prendre la tête aux autres...

Encore une histoire d'amitié et de peur du loup dans Loulou de Solotareff (amitié entre un loup et un lapin), histoire souvent proposée en maternelle.
Sinon, histoire un peu ambigu et du même genre: Ami-ami de Rascal (l'ambiguité tient dans et titre : vous remarquez, si on lit tout attaché, ça fait "miam" au milieu; et une fin "ouverte", le lapin est chez le loup et l'ombre de la tête du loup est un pistolet...Mais c'est très subtil et il faut le remarquez; donc on peut imaginer la suite qu'on veut...)

Le débat est interessant.
Il y a un an, j'essayais de passer l'épreuve de littérature de jeunesse du professorat des ecoles (à l'époque, c'est ce que je voulais faire...Maintenant, pour diverses raisons j'en suis dégoûtée...Et puis les petits me manquaient trop; bref). J'avais pris un livre fantastique, "Les Chats" de Marie-Hélène Delval.Je le destinais plutôt à des CM2 car l'histoire est dure: des chats diaboliques se multiplient en saignant des proies de + en+ grosses. Finalement, pour empêcher le règne du diable, le grand-père doit se sacrifier et se fait flamber av les chats.
C'est horrible mais j'estimais que des CM2 pouvaient "supporter" cette histoire qui est qd-même une leçon de courage et d'ailleurs bien que triste et traumatisé, le petit garçon de l'histoire est fier de son grand-père (1 peu comme dans les histoires à la mémoire des anciens combattants, du genre "Grand-père" de Gilles Rappaport,...Tj pr les grands). En +, c'est un genre qu'ils découvriront au collège, dc 1 bonne intro...
Pb: qu'allez vous répondre aux parents qui pensent que cela est trop violent pr leurs enfants, m'avaient demandé les conseillères pédagogiques du jury. J'ai dit qu'il fallait accompagner la lecture faite aux enfants et surtout les rassurer en répondant à leurs questions; et aussi qu'on se devait, en tant qu'adulte, de préparer les enfants à la violence du monde...Afin, justement qu'ils soient prêts à l'affronter. Mais ma réponse n'a pas semblée leur convenir.
Alors, c'est vrai que je parle de littérature et d'enfants + âgés. Mais le problème peut être le même av des chansons violentes et pour les petits: à chaque âge on peut renconter une violence encore inconnue...
Mais, je persiste à dire que nous nous devons en tant qu'adulte  de selectionner les textes lus ou entendus par les enfants, adaptés à ce qu'ils peuvent rencontrer (mort, divorce,...) afin de les rendre capable d'affronter ces situations. Mais j'avoue qu'il faut pour cela être fins psychologues pour s'adapter à l'enfant et l'accompagner sans le "violenter", choisir les mots justes et adaptés à l'âge, quitte à éluder pr un moment une partie de la réponse pr y revenir qd l'enfant sera prêt. Et notre rôle d'adulte peut être dur...
D'où, je pense, le débat ouvert...

Moi, je bosse lundi et j'ai bossé ce matin jusqu'à 13h. Ce week-end on déménage, en plus! Je suis crevée et j'ai des pbs de tension...
Je vais essayer de transporter les cartons que l'après-midi et de dormir un peu...Sinon, av les vertiges que j'ai, je tiendrai pas! En plus, les médecins, eux ne travaillent pas: plus qu'à attendre mardi! Mais je ne comprends pas pourquoi j'ai de la tension...Je suis jeune(22 ans) et devrais être en bonne santé!
Enfin, je suis bien obligée de déménager, car depuis qlqs temps le locataire du dessous est menacé d'expulsion, et nous, juste au-dessus, on nous fait peur pour qu'on parte (mes pneus crevés, pour mon conjoint:voiture volée, ma serrure forcée,...  ).On a des forts soupçons sur les propriétaires, mais aucune preuve!!!De plus, la police se fiche de nos plaintes.
On a trouvé un logement pour début juillet geré par une agence: donc plus de risque! En attendant, on ira dans ma famille...Même si côté intimité dans la vie de couple, y'a mieux! Mais pas le choix...

Je pense qu'il faut aller voir un nutritioniste; mais surtout 1 AVEC QUI TU T'ENTENDS BIEN. J'ai eu le pb inverse: bcp de poids à reprendre et j'en ai vu 1...Il m'a dégoûtée: je devais faire tout une liste de choses alors que j'en étais incapable...En ts cas du jour au lendemain!
Alors si c'est ça: change de medecin...Car le mien en ts cas, il avait jamais entendu parler de l'effort psychologique dur et de la souffrance.
Courage! Trouve le bon...Car moi, côté alimentaire, j'ai du me débrouiller seule...Et ce fut dur!

oublier/penser

Je pense que la réaction de la maîtresse doit être adaptée à la situation...Et non au caractère d'un enfant en général! Sinon c'est injuste: on qualifie et enferme l'enfant dans une case;...Et à force il ne pourra en changer.
Pour ma part, j'ai fait un an de professorat des ecoles et suis assez dégoûtée. Pas mal d'instit découragées par les conditions actuelles d'enseignement, (pour celles que cela ferait rire, moi aussi avant de travailler en école, je n'y croyais pas...Mais même si elles travaillent moins à l'école, il y a la préparation des cours...Et les enfants, 30 et + , qui hurlent toute la journée...) et du coup n'assurent plus correctement leur rôle.
Mais il y a aussi les feignants qui ont choisi le metier pour se la couler douce.
Enfin, il reste la petite minorité des motivés, (d'ailleurs souvent dans les endroits les plus difficiles!) et les élèves de ces zones sont la plupart du temps heureux de pouvoir aller à l'école!...Alors, ce n'est pas le sujet mais arrêtons les clichés!
Pour en revenir au sujet, encore une instit qui a failli à son rôle!Pour ma part, j'ai renoncé à ce metier car j'étais trop déçue de ces instit qui ne prennaient pas en compte la personnalité de leurs élèves et faisaient passer leurs cours avant l'humain.
Pour ma part, c'est fini! Et quand j'ai vu comment le recrutement est fait, il y a de tout!!!Peuvent en témoigner mes amies "apprenties instit" qui ont eu le concours de la 1ère année...
Et puis mon metier actuel me motive pleinement pour ce qui est des relations humaines avec les petits...
En tous cas, pour les instit qui font tout pour faire réussir leurs élèves et essaient de rester toujours motivées, continuer, car vous êtes de moins en moins!

Moi, j'ai le BAFA, l'AFPS et une licence de lettres suivie d'un an d'IUFM.
Pourtant, ce que je désirerais seulement c'est que toutes les ass mat' soient payées au SMIC, avec un nombre d'enfants à garder imposer par la PMI selon nos disponibilités, notre vie de famille et notre logement.
Ca aiderait bien tout le monde, notamment les débutantes!